Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Aucun navire ne vient plus jeter l'ancre dans le port ensablé de la somnolente principauté nordique où règne le duc Gonzagues.
D'étranges événements...
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Aucun navire ne vient plus jeter l'ancre dans le port ensablé de la somnolente principauté nordique où règne le duc Gonzagues.
D'étranges événements se produisent. Deux horlogers, chargés de l'entretien des deux cent dix-huit pendules du palais, disparaissent mystérieusement. C'est un polonais, Arturo, qui va devenir le maître des heures ; et Gonzagues l'accompagnera fasciné, dans les tournées nocturnes au cours desquelles il dépoussière les rouages et remet les contrepoids en marche.
Puis Arturo épouse une lingère, Helen, dont il a une fille au prénom royal. Est-ce le commencement d'une nouvelle vie au palais ? Ou le début de la tragédie ? Par la magie d'une écriture à la fois sobre et musicale, Christophe Bataille nous entraîne dans un univers où le Temps, la Mort et le Désir jouent une partie mystérieuse.
C'est en parfait horloger que Christophe Bataille remonte le cours des destins et grippe les sentiments des hommes, dans ce roman cruel et silencieux comme un coup de griffe.
Marie-Laure Delorme, Le Journal du dimanche.
La langue d'or de Christophe Bataille.
François Nourissier, Figaro-Magazine.
Christophe Bataille excelle à décrire le protocole nocturne des rondes de l'horloger dans un palais glacial oublié du faste où dort, pleine de poussière, la grande Histoire.
Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur.