250 pages serrées comme un mouchoir dans la poche, comme la cage thoracique d'un cœur d'artichaut.
Le livre de l'homme c'est le récit poignant, expiatoire, d'un homme qui, partant à la recherche de l'histoire d'un autre, finit par résoudre la sienne.
Un voyage dans le passé, écrit dans un présent confondant de réalisme et de vie.
Parfois pesant, ce décor de la ville de Glasgow émaillée par la pauvreté et l'angoisse des lendemains qui fuient, gangrenée par la drogue et toutes ces recherches de soi.
Souvent d'une beauté tendre, on les aime finalement ces déglingués, ces
ratés, ces toxicos, ces écrivains géniaux mais désespérés.
Le roman d'une génération, sur la mémoire, le souvenir, l'amitié et l'amour.
C'est très beau.
Génération perdue
250 pages serrées comme un mouchoir dans la poche, comme la cage thoracique d'un cœur d'artichaut.
Le livre de l'homme c'est le récit poignant, expiatoire, d'un homme qui, partant à la recherche de l'histoire d'un autre, finit par résoudre la sienne.
Un voyage dans le passé, écrit dans un présent confondant de réalisme et de vie.
Parfois pesant, ce décor de la ville de Glasgow émaillée par la pauvreté et l'angoisse des lendemains qui fuient, gangrenée par la drogue et toutes ces recherches de soi.
Souvent d'une beauté tendre, on les aime finalement ces déglingués, ces ratés, ces toxicos, ces écrivains géniaux mais désespérés.
Le roman d'une génération, sur la mémoire, le souvenir, l'amitié et l'amour.
C'est très beau.