Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Il y a une relation étroite entre la notion de beauté et celle de culture, d'esthétique et d'humanité. " Je suis belle, ô mortels, comme un rêve...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
En librairie
Résumé
Il y a une relation étroite entre la notion de beauté et celle de culture, d'esthétique et d'humanité. " Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre ", écrit Baudelaire en la personnifiant... Mais la beauté est-elle réellement accessible ? Comment se traduit-elle dans l'univers, chinois ou occidental ? Dans une perspective très originale, Zhu Cunming montre combien l'expérience de beauté est universelle, mais aussi profondément liée à celle de la laideur. En témoignent les bronzes des temples, les figures de dragon à la gueule énorme, comme autant de faces cachées du sentiment du beau... De son côté, Dominique Fernandez s'attache à définir la beauté comme expérience de l'ambiguïté. Plus que la cathédrale qui parle trop directement de Dieu, la musique, en particulier, évoque cet impalpable inaccessible. A partir du mythe d'Orphée, qui court dans la culture occidentale de Monteverdi à jean Cocteau, Dominique Fernandez poursuit la vérité de la beauté dans une réflexion éblouissante. Un grand plaisir de lecture et de culture.