Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'homme de l'humour, ce serait Socrate s'il avait été beau, saint Martin s'il avait donné la moitié non de son manteau mais de sa peau, la Joconde...
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Livré chez vous entre le 24 septembre et le 27 septembre
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Résumé
L'homme de l'humour, ce serait Socrate s'il avait été beau, saint Martin s'il avait donné la moitié non de son manteau mais de sa peau, la Joconde si elle avait vraiment porté la moustache, Descartes s'il n'avait pas inventé le cogito mais la nitroglycérine, Glenn Gould si après une fausse note il s'était coupé une main en direct à la télévision. Si l'humour était possible, ce serait la plus belle attitude humaine, plus belle encore que la sagesse, l'héroïsme ou la sainteté. Il suffirait, dans le même temps, d'adhérer absolument au monde et de s'en éloigner vertigineusement, jusqu'à presque mourir. Et de laisser jaillir, effet ou cause de cet écartèlement, l'étincelle d'un rire froid, à la fois positif et négatif. Dommage que ce soit impossible. Jacques Vaché avait retiré son " h " à " umour ", Noguez lui retire ses cinq dernières lettres.
"L'humour est chose grave, c'est la chose la plus grave, c'est la seule chose grave. Car, s'il est véritablement déclenché et véritablement compris, il embrasse le tout de l'humaine grandeur et de l'humaine détresse".