Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Mettre l'Ecriture à un rang de respect égal avec l'Oralité est une tentative jamais achevée malgré de nombreux travaux précédents (J. Derrida,...
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Livré chez vous entre le 24 septembre et le 27 septembre
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Résumé
Mettre l'Ecriture à un rang de respect égal avec l'Oralité est une tentative jamais achevée malgré de nombreux travaux précédents (J. Derrida, J. Goody, A.-M. Christin). Chaque fois, par un biais (l'orthographe) ou un autre (l'histoire de l'écriture), le problème resurgit ! Dans ce livre, on a cherché à rapprocher l'écriture de sa nature profonde : l'espace. Des exemples de mouvements dans l'espace sont donnés, de même que des graphes, des motifs, des signes graphiques si nombreux dans l'espace urbain viennent à leur tour s'approcher du graphème pour montrer combien le signifiant graphique a besoin d'une urgente révision théorique allant dans le sens de la complexité. Par différents angles de vue : l'espace et sa reconnaissance, le sens du mouvement réfugié dans certains motifs, l'usure des
figures. Enfin l'intérêt pour le paysage comme pour la peinture prolongent des éclairages sur l'influence du système graphique latin sans compter la métaphore connue du tissage (tissure/texture) qui permet de déborder du côté de la calligraphie.
Martine COTIN est docteur d'Etat en sémiotique littéraire à l'Université de Franche-Comté (Besançon), membre de l'équipe de recherche LASELDI (Idiomes).