Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En aucun cas il ne s’agit là d’un traité théorique sur la peinture ou les représentations du paysage, mais plutôt d’une promenade qui vise...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
En aucun cas il ne s’agit là d’un traité théorique sur la peinture ou les représentations du paysage, mais plutôt d’une promenade qui vise à faire réfléchir plutôt qu’à instruire ou à informer. L’auteur fonde sa réflexion sur quatre types de paysage : les paysages symboliques (le jardin symbolique de la Dame à la licorne), les paysages réalistes, les paysages fantastiques (ceux de Jérôme Bosch), et les paysages idéalisés, comme ceux de Nicolas Poussin. Certains artistes sont traités plus en détails comme Constable, Courbet, Turner, Van Gogh… L’immense culture de Kenneth Clark, et la beauté, la limpidité de son style nous permettent de voyager dans tous les paysages qui ont inspiré peintres, graveurs et enlumineurs, depuis les feuillages des manuscrits du Moyen Âge jusqu’au vert bleuté de la montagne Sainte-Victoire, peinte et repeinte par Cézanne, en passant par les recherches sur la perspective et la couleur. Tout au long de ce traité d’une érudition non tapageuse, le lecteur prend peu à peu conscience combien la nature reste une composante essentielle de l’histoire de l’art.
Kenneth Clark (1903-1983) fut en 1935 le plus jeune directeur de la National Gallery de Londres. Il enseigna à Oxford et fut annobli en 1969. Il publia entre autres Civilisation, Le Nu et Léonard de Vinci.