Au cours de toute la première moitié , le roman a le chic de ne montrer rien, ni expliquer pas grand chose sur 10 ans de la vie de ce marin retenu aux cotés d' une tribu originelle. A part une description minutieuse , détaillée du délire érotico orgiaque qui saisit tous ces gens avec cette somptueuses grillade cannibale ( heureusement , le" blanc" trouve de gentils sauvages qui font grillade à part avec du poisson. Ouf!!!!
je pensais qu'il y aurait quelques clés dans la deuxième moitié, concernant le vecu dans la confrontation entre deux peuples, 2 langues etc...mais non, , seulement
un abscons jargon philosophique au propos fumeux. .
Faut bien savoir que ce n'est pas un "recit", mais plutôt une variation plus ou moins psychiatrique sur le sujet!.
L'abondance de ciel
Le premier paragraphe pose les bases : le sublime – et l'inconnu – sont au rendez-vous.
Le sublime : celui d'une langue, unique, et d'un récit en feu.
Inspiré d'une anecdote réelle, ce texte s'envole pour mieux nous plonger dans les profondeurs de notre condition humaine. Dans la nature d'un paradis perdu : là où l'autre – l'inconnu – nous révèle à nous-même. Là où la douleur et la beauté se rencontrent.