Juliane - Une vie - Grand Format

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Agnès Thiorix - Juliane - Une vie.
Il me parlait d'aventures, de guerres, de captivité, d'évasion sans cependant trop insister, mais peu à peu il évoquait les pays lointains qu'il avait... Lire la suite
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      Paru le : 05/11/2004
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Résumé

Il me parlait d'aventures, de guerres, de captivité, d'évasion sans cependant trop insister, mais peu à peu il évoquait les pays lointains qu'il avait visités, où il y avait de belles promenades à faire et tant de choses intéressantes à découvrir. Après une courte pause, il me demanda si je serais heureuse de connaître l'Extrême-Orient et si j'envisageais d'aller voir un jour quelques-uns des monuments que j'étudiais. Puis, m'avouant qu'il désirait m'en parler depuis un certain temps, il me demanda tout à trac si je voulais l'accompagner et partager sa vie...

Caractéristiques

  • Date de parution
    05/11/2004
  • Editeur
  • ISBN
    2-915255-07-5
  • EAN
    9782915255072
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    2980 pages
  • Poids
    0.415 Kg
  • Dimensions
    13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm

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À propos de l'auteur

Biographie d'Agnès Thiorix

La vie de Marguerite-Marie Rix, devenue Marguerite-Marie Thiollier (Agnès Thiorix est le pseudonyme qu'elle s'est choisie), commence avec le début du XXe siècle et s'achève avec la première année du XXIe. Elle est l'une des premières bachelières de Saint-Etienne. C'est, à l'époque, à peine convenable, tout autant que son passage par l'école des Beaux-Arts de cette ville. Elle gagne le droit d'être étudiante à Paris en proposant d'y tenir les cordons de la bourse de son frère, élève ingénieur jugé par ses parents trop dépensier. L'étude du droit en est le prix. Très vite elle lui préfère la fréquentation assidue de l'atelier du peintre Maurice Denis. Son mariage avec Emmanuel Thiollier, agent de la compagnie des Messageries Maritimes, l'amène à vivre en Chine, à Shanghai - on écrivait à l'époque Changhai. Sa curiosité pour les nouveaux mondes qu'elle approche est immense. Elle y développe son talent pour les portraits au pastel. La nécessité s'impose immédiatement à elle de pouvoir s'ouvrir à la diversité des cultures qu'elle rencontre, ce qui n'est pas non plus bien vu dans la vie mondaine des " expatriés " coloniaux. Son retour à Paris est consacré à cette ambition, qui la conduit à compter parmi les disciples de Marcel Mauss et parmi les premiers titulaires du certificat d'ethnologie nouvellement créé. Elle obtiendra ensuite le certificat d'histoire des religions. Le séjour à Colombo, à Ceylan aujourd'hui Sri Lanka - est l'occasion de faire œuvre ethnographique en constituant une collection de masques, accompagnés de dessins et de notes descriptives, aujourd'hui pièces de référence des collections du musée de l'Homme. Ses études à l'Ecole du Louvre sont interrompues par la guerre ; elle avait entrepris la rédaction d'une thèse consacrée à la danse dans l'art hindou qu'elle ne peut mener à son terme, après la mort d'Emmanuel car il lui faut organiser et soutenir la vie d'une famille de cinq enfants. C'est ainsi qu'elle s'invente progressivement une profession dans laquelle elle excelle et qui consiste à transmettre, à divulguer, en conférences et en visites commentées de monuments et d'expositions, un savoir constamment revivifié, comme en témoignent sa bibliothèque, aux nombreux ouvrages marqués de signets annotés, et une abondante collection de coupures de presse. Ses goûts littéraires sont dominés par Stendhal et Claudel. Personne de ses proches ne l'aurait imaginée s'engager dans une écriture de fiction. Aussi la découverte de Juliane, rédigée dans le secret, fut-elle pour tous une surprise. Son écriture dut suivre de quelque quatre ou cinq années la publication du Dictionnaire des religions que les éditions Larousse lui avaient demandé de concevoir pour la collection des " Dictionnaires de l'Homme du XXe siècle " aujourd'hui disparue (l'ouvrage fut réédité par la suite par l'Asiathèque et le Sycomore, puis par Marabout). On pourrait qualifier Juliane d'autofiction - avant la lettre - car s'y joignent d'un même élan vie vécue et vie rêvée. Veuve, l'héroïne du livre décide de lier son existence à la terre, alors que Marguerite-Marie Thiollier s'épanouit dans son métier de conférencière. Habitant pendant le dernier quart de son siècle de vie le propre hôtel de François Mansart, 5 rue Payenne, elle y tient en saison, tous les mardis, jusqu'à ses derniers jours, un salon où se réunissent les fidèles de plusieurs décennies de ses conférences et où sont abordés des thèmes chaque fois renouvelés. S'étant attachée aux destins très divers des femmes qui illustrèrent le quartier du Marais et qu'elle évoque dans Dames du Marais, de Christine de Pisan à Clotilde de Vaux (réédité par Hervas), elle est devenue elle-même l'une d'entre elles.

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