Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Finir, ne pas finir... le point final, le mot de la fin, comment et pourquoi faire une fin ? En ce lieu stratégique tout écrit met en jeu à la fois...
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Finir, ne pas finir... le point final, le mot de la fin, comment et pourquoi faire une fin ? En ce lieu stratégique tout écrit met en jeu à la fois sa cohérence, son rapport au monde et sa lecture. Programmée ou non, assumée ou déniée, la fin est inéluctable, et la rhétorique en a fixé depuis toujours les protocoles et les topoï. Pourtant, chaque texte doit inventer sa fin, c'est-à-dire simultanément la construire et la déjouer, sans parler de ceux qui, par nature, ne sauraient avoir de fin. L'étude des fins, comme celle des incipit, relève de la génétique autant que de la poétique et de la sociocritique. C'est en croisant ces trois approches qu'on explore ici cette problématique d'une écriture des fins, à partir des manuscrits et à travers quelques exemples majeurs empruntés à différents genres, de Balzac à Beckett, de Michelet à Ponge, de Flaubert à Zola et à Sartre.