Genèse des fins. De Balzac à Beckett, de Michelet à Ponge
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- Nombre de pages231
- FormatePub
- ISBN2-402-10530-5
- EAN9782402105309
- Date de parution31/12/1995
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Pres...
Résumé
Finir, ne pas finir. le point final, le mot de la fin, comment et pourquoi faire une fin ? En ce lieu stratégique tout écrit met en jeu à la fois sa cohérence, son rapport au monde et sa lecture. Programmée ou non, assumée ou déniée, la fin est inéluctable, et la rhétorique en a fixé depuis toujours les protocoles et les topoï. Pourtant, chaque texte doit inventer sa fin, c'est-à-dire simultanément la construire et la déjouer, sans parler de ceux qui, par nature, ne sauraient avoir de fin.
L'étude des fins, comme celle des incipit, relève de la génétique autant que de la poétique et de la sociocritique. C'est en croisant ces trois approches qu'on explore ici cette problématique d'une écriture des fins, à partir des manuscrits et à travers quelques exemples majeurs empruntés à différents genres, de Balzac à Beckett, de Michelet à Ponge, de Flaubert à Zola et à Sartre.
L'étude des fins, comme celle des incipit, relève de la génétique autant que de la poétique et de la sociocritique. C'est en croisant ces trois approches qu'on explore ici cette problématique d'une écriture des fins, à partir des manuscrits et à travers quelques exemples majeurs empruntés à différents genres, de Balzac à Beckett, de Michelet à Ponge, de Flaubert à Zola et à Sartre.
Finir, ne pas finir. le point final, le mot de la fin, comment et pourquoi faire une fin ? En ce lieu stratégique tout écrit met en jeu à la fois sa cohérence, son rapport au monde et sa lecture. Programmée ou non, assumée ou déniée, la fin est inéluctable, et la rhétorique en a fixé depuis toujours les protocoles et les topoï. Pourtant, chaque texte doit inventer sa fin, c'est-à-dire simultanément la construire et la déjouer, sans parler de ceux qui, par nature, ne sauraient avoir de fin.
L'étude des fins, comme celle des incipit, relève de la génétique autant que de la poétique et de la sociocritique. C'est en croisant ces trois approches qu'on explore ici cette problématique d'une écriture des fins, à partir des manuscrits et à travers quelques exemples majeurs empruntés à différents genres, de Balzac à Beckett, de Michelet à Ponge, de Flaubert à Zola et à Sartre.
L'étude des fins, comme celle des incipit, relève de la génétique autant que de la poétique et de la sociocritique. C'est en croisant ces trois approches qu'on explore ici cette problématique d'une écriture des fins, à partir des manuscrits et à travers quelques exemples majeurs empruntés à différents genres, de Balzac à Beckett, de Michelet à Ponge, de Flaubert à Zola et à Sartre.