Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Il ne faut pas s'agréer ni être amis avant d'avoir vu l'un et l'autre qu'on est digne d'être aimé, ni avant d'avoir l'un dans l'autre une entière...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
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Résumé
" Il ne faut pas s'agréer ni être amis avant d'avoir vu l'un et l'autre qu'on est digne d'être aimé, ni avant d'avoir l'un dans l'autre une entière confiance. Se donner trop vite l'un à l'autre des marques d'amitié, c'est sans doute témoigner que l'on souhaite être ami, ce n'est pas l'être : il faudrait encore être réellement digne d'amitié et le savoir. S'il est un sentiment qui peut naître un instant, c'est donc le souhait de l'amitié, mais non pas l'amitié. "
ARISTOTE.
Les livres VIII et IX de l'Ethique à Nicomaque constituent un traité à part entière. Aristote y développe une théorie de l'amitié (philia), dont l'acuité et la richesse sont restées sans égal dans la littérature philosophique. L'amitié entre amis, mais aussi entre amants, entre parents et enfants, et même entre citoyens, fait l'objet d'analyses circonstanciées. Pour Aristote, toute amitié vise soit l'utilité, soit le plaisir, soit le bien, mais sa forme parfaite est celle d'une bienveillance réciproque, entre amis vertueux et égaux. Envers l'ami, alter ego, l'attachement est alors aussi profond qu'envers soi-même. Dans ce cas, l'amitié conduit au bonheur véritable.