Dépendances - Journal (1912-1913) - Grand Format

Thierry Loisel

(Traducteur)

,

Jean-Philippe Dubois

(Postfacier)

Note moyenne 
Géza Csath - Dépendances - Journal (1912-1913).
Érotomane. Graphomane. Morphinomane. Chacun de ces qualificatifs définit à un moment ou un autre la figure de Géza Csàth, homme aux multiples dépendances.... Lire la suite
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Résumé

Érotomane. Graphomane. Morphinomane. Chacun de ces qualificatifs définit à un moment ou un autre la figure de Géza Csàth, homme aux multiples dépendances. Près d'un siècle après sa mort, il continue, en Hongrie d'où il est originaire, et dans le monde où son oeuvre est largement traduite, à susciter interrogations et impressions contradictoires. Avec son journal enfin traduit en français, on découvre la face cachée de cet écrivain génial qui mit à se torturer une passion toute particulière. Œuvre littéraire exceptionnelle née en marge de la psychanalyse balbutiante, ce Journal intime dévoile les facéties libertines et féroces d'un héritier de Casanova se muant peu à peu en victime d'une terrible tragédie. L'écriture ne pardonne pas, croit-on savoir : en voici une preuve stupéfiante.

Caractéristiques

  • Date de parution
    14/10/2009
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-916141-36-7
  • EAN
    9782916141367
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    267 pages
  • Poids
    0.276 Kg
  • Dimensions
    11,5 cm × 16,8 cm × 2,0 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Géza Csath

Jószef Brenner, né en 1887 à Szabadka en Hongrie, mena de front une double activité, celle de médecin et psychiatre sous ce premier nom, et celle d'écrivain sous celui de Géza Csàth. Cousin et ami de Dezsö Kosztolànyi, il fut actif parmi l'avant-garde de la revue "Nyugat" tout en s'ouvrant aux idées neuves de Freud. Auteur de nouvelles qui lui valurent la célébrité en Hongrie, il se consacra aussi à la musique. On peut lire de lui en France deux recueils qui témoignent de son génie de nouvelliste : Le jardin du Mage (L'Arbre vengeur) et En se comblant mutuellement de bonheur (Ombres). Devenu toxicomane, il plongea peu à peu dans une folie qu'il savait fatale. Il se suicida en 1919 après avoir assassiné sa femme.

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