Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Quand elle écarte les cuisses, ses fesses s'assouplissent, s'élargissent et ouvrent leur sillon à la base duquel se fend le volume renflé de son sexe...
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Quand elle écarte les cuisses, ses fesses s'assouplissent, s'élargissent et ouvrent leur sillon à la base duquel se fend le volume renflé de son sexe ourlé de chairs roses. Quand elle referme les cuisses, c'est cette bouche charnue qu'elle presse et contraint pour de nouveau la libérer un moment plus tard. L'exhibition est si saisissante dans sa très lente violence qu'avec quelque retard je m'étonne à constater que le sexe qui palpite sous mes yeux n'est si distinct dans son obscénité que parce qu'il est vierge de toute pilosité. Je le vois mieux encore quand ramenant sous elle ses genoux, elle lève le cul dont la masse achève de se fendre et livre sans défense le petit cône brun et plissé de l'anus. Puis, c'est une plage où le rose des chairs se teinte de beige. Et enfin, la vulve qui s'écarquille sous ses paupières moites.