Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Gaieté ", " ironie amusante " : c'est par ces termes que Maupassant souligne les mérites des Contes de la Bécasse (1883). Le comique y est présent...
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" Gaieté ", " ironie amusante " : c'est par ces termes que Maupassant souligne les mérites des Contes de la Bécasse (1883). Le comique y est présent sous tous ses aspects, de la satire (" Ce cochon de Morin ") à la farce (" Farce normande "), en passant par le burlesque (" Saint-Antoine ") et le grotesque (" Menuet "). Mais parfois, il se double de notes graves avec le drame (" En mer "), la tragédie (" la Folle ") ou le fantastique (" la Peur "). Ces dix-sept contes portent la marque de leur auteur : réalisme hardi, originalité du regard posé sur le réel, sens de la destinée humaine. Tour à tour naturaliste ou impressionniste, Maupassant réinvente le récit bref.