Le Salvador se réveille juste de longues
et meurtrières années de guerre civile
défiguré, déchiré.
Un homme confesse à un autre homme, son dégoût
pour ce pays, pour ce peuple dévergondé
sa politique, ses moeurs
En une logorrhée féroce, exacerbée
un fleuve de paroles écoeurées et subversives
une critique acide d'une société émiettée par le conflit
Moya signe un roman où la violence
joue des coudes avec la jubilation de l'excès
L'humour y est grinçant, chuintant, cruel aussi
et porte en lui tous les germes de la révolte.
Le dégoût
Le Salvador se réveille juste de longues
et meurtrières années de guerre civile
défiguré, déchiré.
Un homme confesse à un autre homme, son dégoût
pour ce pays, pour ce peuple dévergondé
sa politique, ses moeurs
En une logorrhée féroce, exacerbée
un fleuve de paroles écoeurées et subversives
une critique acide d'une société émiettée par le conflit
Moya signe un roman où la violence
joue des coudes avec la jubilation de l'excès
L'humour y est grinçant, chuintant, cruel aussi
et porte en lui tous les germes de la révolte.