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"La vie est un mauvais écrivain, disait mon père. Chacun de nous la réécrirait différemment s'il en avait la possibilité". Depuis le début de l'année, Georgie met les pieds dans le plat : elle a déjà fait pleurer le nouveau mec en vue du lycée -deux fois- et elle n'a pas pu s'empêcher de frapper cette peste qui ne cessait de la provoquer. Impulsive, pleine d'humour sarcastique et de répartie, rien ne semble pouvoir atteindre la jeune fille de dix-huit ans...
jusqu'à ce qu'elle perde ses amis et en même temps ses repères. Une rencontre avec un garçon plus âgé va alors éveiller en elle des sentiments inconnus.
Souffrir, ça fait sûrement grandir.
C’est un joli titre pour une citation qui se vérifie sûrement trop souvent aux yeux de certains ...
C’est aussi une belle histoire, la rencontre d’un sacré numéro, Georgie, une fille au caractère bien trempé.
Entrer dans son univers, (relativement bancal, mais qu’elle surmonte avec beaucoup de santé d’esprit), rire de ses réparties cinglantes, ressentir avec elle ce sentiment inconnu et dévastateur, qui ébranle ses belles certitudes, vivre intensément ses doutes, ses joies , ses douleurs, tout cela, ce magnifique roman d’apprentissage, d’atmosphère, va vous l’offrir pêle-mêle, entre rire et larmes.
C’est un livre qui se dévore, qui se savoure, qui se vit, qui se garde.