Premier abandon de l'année. Je n'y arrive pas et me plonger dans ce roman me déprime rien que d'y penser. A la page 130 je vois déjà ce que l'auteur souhaite nous montrer : la déchéance du jeune fille de bonne famille mais qui n'a plus les moyens de ses ambitions et que la rumeur, quelle qu'elle soit, va détruire, alors que l'amour, le vrai, est sous ses yeux depuis le début, si seulement elle acceptait de ne pas regarder que l'argent dans ses calculs pour se mettre à l'abri du besoin.
Ce n'est pas tant le sujet que l'écriture qui me gêne. Je trouve cela pompeux et ampoulé, lourd.
Les digressions sont également fréquentes chez Jane Austen par exemple, mais avec plus de légèreté et d'humour. Ici, j'ai l'impression de lire toujours les mêmes, toujours sur les mêmes aspects de ce monde de l'apparence mais totalement hypocrite. Une redite permanente où l'auteur creuse toujours les mêmes défauts de l'être humain : la cupidité, l'avarice,... Cette analyse psychologique est intéressante mais lourde.
Les nouveaux riches sont regardés de haut par les anciens noms, mais ils ne peuvent s'empêcher de rechercher leur compagnie, ils aspirent à être acceptés. Tous ces gens, qui font partie de l'entourage proche de Lily, n'hésiteront pas à lui tourner le dos.
Je suis surement une des rares à ne pas être conquise par ce roman. J'essaierai de voir l'adaptation pour connaître la fin, même si je la devine déjà.
http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2013/02/chez-les-heureux-du-monde-elizabeth.html
Chez les heureux du monde
Premier abandon de l'année. Je n'y arrive pas et me plonger dans ce roman me déprime rien que d'y penser. A la page 130 je vois déjà ce que l'auteur souhaite nous montrer : la déchéance du jeune fille de bonne famille mais qui n'a plus les moyens de ses ambitions et que la rumeur, quelle qu'elle soit, va détruire, alors que l'amour, le vrai, est sous ses yeux depuis le début, si seulement elle acceptait de ne pas regarder que l'argent dans ses calculs pour se mettre à l'abri du besoin.
Ce n'est pas tant le sujet que l'écriture qui me gêne. Je trouve cela pompeux et ampoulé, lourd. Les digressions sont également fréquentes chez Jane Austen par exemple, mais avec plus de légèreté et d'humour. Ici, j'ai l'impression de lire toujours les mêmes, toujours sur les mêmes aspects de ce monde de l'apparence mais totalement hypocrite. Une redite permanente où l'auteur creuse toujours les mêmes défauts de l'être humain : la cupidité, l'avarice,... Cette analyse psychologique est intéressante mais lourde.
Les nouveaux riches sont regardés de haut par les anciens noms, mais ils ne peuvent s'empêcher de rechercher leur compagnie, ils aspirent à être acceptés. Tous ces gens, qui font partie de l'entourage proche de Lily, n'hésiteront pas à lui tourner le dos.
Je suis surement une des rares à ne pas être conquise par ce roman. J'essaierai de voir l'adaptation pour connaître la fin, même si je la devine déjà.
http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2013/02/chez-les-heureux-du-monde-elizabeth.html