Alik est un peintre russe émigré aux Etats-Unis depuis quelques décennies. Il va mourir et tous ses proches sont réunis dans le petit appartement, il ne peut plus bouger alors ils se relaient tous auprès de lui.
Sa femme veut le faire baptiser pour qu’il puisse mourir en toute quiétude. Lui s’en fiche comme de son premier pinceau. Cependant, il accepte pour lui faire plaisir mais demande à voir un rabbin.
Je m’attendais à quelque chose de plus festif :oui bon attendre qu’un homme meurt n’est spécialement festif mais je m’attendais à une organisation de funérailles
un peu plus endiablée.
Finalement on se retrouve avec une succession de portraits hétéroclites de femmes qui ont partagé la vie du mourant.
Cet appartement s’est transformé en petite Russie dans le grand New York ou comment cultiver ses origines tout en s’acclimatant dans le pays d’adoption.
Je suis donc un peu mitigée quant à cette lecture même si le clin d’œil d’Alik en toute fin de roman m’a fait sourire.
Pas si joyeux que ça....
Alik est un peintre russe émigré aux Etats-Unis depuis quelques décennies. Il va mourir et tous ses proches sont réunis dans le petit appartement, il ne peut plus bouger alors ils se relaient tous auprès de lui.
Sa femme veut le faire baptiser pour qu’il puisse mourir en toute quiétude. Lui s’en fiche comme de son premier pinceau. Cependant, il accepte pour lui faire plaisir mais demande à voir un rabbin.
Je m’attendais à quelque chose de plus festif :oui bon attendre qu’un homme meurt n’est spécialement festif mais je m’attendais à une organisation de funérailles un peu plus endiablée.
Finalement on se retrouve avec une succession de portraits hétéroclites de femmes qui ont partagé la vie du mourant.
Cet appartement s’est transformé en petite Russie dans le grand New York ou comment cultiver ses origines tout en s’acclimatant dans le pays d’adoption.
Je suis donc un peu mitigée quant à cette lecture même si le clin d’œil d’Alik en toute fin de roman m’a fait sourire.