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Indispensable
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Emouvant
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Eblouissant
C'est l’ivresse qu'on recherche en dégustant ce recueil, la diversité de ses cépages... pardon, de ses poèmes, tenant en quelques lignes ou sur une gande paraison, en vers libres ou en rimes, peu importe, ce qui compte c'est leur intensité aromatique,... leur musicalité, la force de leur attaque, on peut dévorer l'ensemble du recueil sans être jamais lâcher, ou le déguster à petites gorgées. Quand on met devant moi ce recueil de poèmes, tout d'abord de ma truffe délicate je le flaire (voir profil), le feuillette doucement, je le lampe ; et dès lors je suis à mon affaire (voir
Rostand). J'ai aussi eu la "chance" de ne jamais l'avoir étudier en classe, c'est peut-être pour ça que j'y reviens encore et encore... J'ai cité la fin d'un poème pour conclure mon mémoire de maîtrise en philo :
"Car y a-t-il rien qui vous élève
Comme d'avoir aimé un mort ou une morte
On devient si pur qu'on en arrive
Dans les glaciers de la mémoire
A se confondre avec le souvenir
On est fortifié pour la vie
Et l'on n'a plus besoin de personne"
L'Adieu me fait penser à une amie perdue, il est reprit aussi magnifiquement par Charlotte Gainsbourg dans une de ses chansons, comme quoi, je suis vraiment imprégné.
Slaint !
C'est l’ivresse qu'on recherche en dégustant ce recueil, la diversité de ses cépages... pardon, de ses poèmes, tenant en quelques lignes ou sur une gande paraison, en vers libres ou en rimes, peu importe, ce qui compte c'est leur intensité aromatique,... leur musicalité, la force de leur attaque, on peut dévorer l'ensemble du recueil sans être jamais lâcher, ou le déguster à petites gorgées. Quand on met devant moi ce recueil de poèmes, tout d'abord de ma truffe délicate je le flaire (voir profil), le feuillette doucement, je le lampe ; et dès lors je suis à mon affaire (voir Rostand). J'ai aussi eu la "chance" de ne jamais l'avoir étudier en classe, c'est peut-être pour ça que j'y reviens encore et encore... J'ai cité la fin d'un poème pour conclure mon mémoire de maîtrise en philo :
"Car y a-t-il rien qui vous élève
Comme d'avoir aimé un mort ou une morte
On devient si pur qu'on en arrive
Dans les glaciers de la mémoire
A se confondre avec le souvenir
On est fortifié pour la vie
Et l'on n'a plus besoin de personne"
L'Adieu me fait penser à une amie perdue, il est reprit aussi magnifiquement par Charlotte Gainsbourg dans une de ses chansons, comme quoi, je suis vraiment imprégné.