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"[... ] Au bout du compte on s'aperçoit que les quatre petites pièces, jusqu'à maintenant inconnues, qui formaient le gros du Spectacle Ionesco d'août-septembre 1953, sont loin d'être des oeuvrettes insignifiantes : elles trouvent non seulement leur place, à part entière, dans l'esthétique dramatique de l'écrivain, mais elles permettent d'établir un certain nombre de liens entre le passé surréaliste et le futur de la mise en scène".
Michel Corvin.