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Avec une grande liberté de ton et une érudition jamais pontifiante, Simon Liberati nous livre une miscellanée de rêveries sur le thème du romantisme. Mais le romantisme à la sauce Liberati c'est autant des études littéraires sur les Fitzgerald, Mme de Genlis, Truman Capote ou Alfred Jarry que des révélations sur les
dandys et les belles déchues d'un monde interlope toujours fascinant. On entre avec lui dans le cabinet de Sainte Beuve, le suit sur un tournage de Visconti, partage son amour des anthologies, assiste à des échanges surréalistes avec des California girls dans un paradis hippie, ou encore à une conversation étonnante avec Modiano.
Dans cette galerie de portraits farfelue, on croise aussi un chauffeur chinois égaré dans la nuit, une sirène dans une vitrine, Casanova et Maurice Barrès, une princesse russe démodée, des critiques ressuscités de la Nrf, une ancienne miss France, le fantôme de Proust et l'incontournable Léautaud… Au croisement de tous ces mondes, Simon Liberati orchestre de façon magistrale ces instantanés de vie, évocations personnelles ou anecdotes chinées dans des livres d'un autre temps.
On dévore ce brillant ovni comme on regarderait le making-off d'un film culte et bien sûr décadent, avec curiosité et jubilation.
Blablablablaaaa
113 études de littérature romantique : il faudra m'expliquer en quoi ces 113 chapitres relèvent d'une étude. Et pourquoi parler de littérature romantique...
J'aurais plutôt choisi 113 chapitres inutiles !
Nul et sans intérêt. Incontestablement le pseudo essai de l'année 2013, même pas bien écrit et même pas intéressant.
Un nanar accompli !