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Qui a tué le chat de Suzanne ? Le récit est morcelé, comme celui d'une conscience qui tend à recoller les morceaux de sa mémoire brisée. Un syndrome frappe Suzanne, l'afantasy diront les neurologues, l'incapacité à retrouver les traits des personnes qu'elle a connues. Faut-il le cacher ou l'afficher ? Toute la ville va alors être envahie par l'expression de cette invalidité, qui se retourne en fantaisie subversive contre un ordre architectural déprimant.