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Roman plein d'élégance, d'optimisme et de charme, l'émouvant portrait d'une femme qui pensait avoir remisé son cour et son art au placard. Mais dans la campagne américaine, la vie est pleine de surprises, et les passions, souvent imprévisibles.
Quitter New York : l'idée n'emballe pas Rebecca Winter, mais la photographe n'a plus le choix. Une carrière au point mort, des parents malades, un fils dont elle assume chaque déboire : Rebecca doit partir à la campagne, essayer de faire des économies en attendant de renouer avec le succès rencontré trente ans plus tôt, avec sa célèbre photo, Nature morte aux miettes de pain.
Seule dans ce cottage plus proche de la cabane de jardin que d'une vraie maison, Rebecca panique : un raton laveur dans le grenier, ce toit qui prend l'eau ? Pourra-t-elle jamais survivre en province ?
Mais bientôt, la farouche Rebecca se découvre de nouveaux amis : Sarah, la bavarde et sympathique pâtissière ; Jim, le charpentier ornithologue, qu'elle assiste dans ses observations de rapaces.
Un homme de quarante ans, très secret, doté d'un magnétisme formidable auquel Rebecca n'est pas insensible. Et au contact de cette nature splendide, l'inspiration ne tarde pas à refaire surface...
Et si à soixante ans, Rebecca pouvait encore se faire surprendre par la vie ? Et s'il ne tenait qu'à elle de lever la tête de son objectif, de sortir de cette Nature morte qui la retient prisonnière, d'oser s'ouvrir à nouveau à la vie ?
Il m'a manqué quelques petites choses... Dommage !
Ma chronique: http://www.leslecturesdelily.com/2016/03/nature-morte-aux-miettes-de-pain-ecrit.html#more
Extrait de mon avis:
Nature morte aux miettes de pain, un bien joli titre pour un roman, il est assez mystérieux et laisse présager un bon moment de lecture. Sa couverture est tout aussi belle : ce petit bouquet de fleurs, cet appareil photo, les couleurs... C'est soft, beau et ça donne envie de se plonger dans ce livre. Le résumé n'est pas en reste, en fait, tout est réuni pour qu'un amoureux des livres soit interpellé par cet ouvrage. En tout cas, si je l'avais découvert en librairie, c'est sûr que je l'aurais adopté tout de suite et pourtant...
Pourtant, la magie n'a pas opéré avec moi, peut-être mettais-je fait une idée trop précise de ce livre et qu'il n'a tout simplement pas répondu à mes attentes. En fait, au premier coup d’œil, il m'a tout de suite fait penser aux livres de Caroline Vermalle qui sont édités, eux aussi, aux Éditions Belfond. Les titres énigmatiques et poétiques, les couvertures simples mais efficaces, les résumés qui donnent envie de lire, tout ceci fait partie de la recette du bonheur que nous offre Caroline dans chacun de ses livres. Je partais donc assez confiante, parce que j'étais certaine de retrouver la même chose dans ce bouquin. Un pressentiment qui n'a malheureusement pas été bon.
C'est un roman qui se lit relativement bien, la plume de l'auteure Anna Quindlen est agréable et appréciable, même s'il m'a clairement manqué cette touche de poésie que j'aime particulièrement trouver dans les livres que je lis.
L'histoire se développe tranquillement -peut-être même trop doucement- et devient assez rapidement ennuyeuse. [...]
Pour lire la suite rdv sur mon blog www.leslecturesdelily.com