En cours de chargement...
On voit vivre, sous les murailles, des espaces que les liturgies n'éblouissent, n'impressionnent, ne suivent, ni n'approchent. Ils portent des langages, dont le chiffre sacré reste ignoré du cortège ; des timbres sur qui nul outil ne se peut refermer ; des chants qu'un recensement ne saurait confisquer ; des thrènes ayant reçu, avec le bel exil, la plus simple part : celle où le rêve a devancé la mort.
Et c'est en poursuivant son ombre à travers leurs inexplicables domaines, que l'auteur a songé les signes de sa propre demeure.