Voilà un roman dont j'ai trouvé la lecture ardue. Et pourtant, des jours après, il me reste toujours en mémoire cette petite lumière.
Il est vrai que je n'apprécie pas particulièrement les descriptions de la nature. Et dans ce court roman, il y en a beaucoup. Pourtant, le charme a opéré malgré moi.
Et puis il y a la question de cette fameuse lumière : une légère intrigue, de quoi m'appâter.
Un récit qui se déroule la plupart du temps de nuit, créant une atmosphère particulière.
Et puis le narrateur est isolé de tout, seul, au milieu des collines.
Une petite lumière
qui vous poursuit longtemps.
L'image que je retiendrai (attention spoiler) :
Celle du petit garçon au crâne rasé vivant seul dans la maison.
http://motamots.canalblog.com/archives/2014/12/12/31102011.html
Intriguant
On pourrait se croire dans un récit post-apocalyptique ou un conte de retour à la nature, mais aussi dans un regard astrophysicien de l'infini, et le désappointement ne s'arrête pas là.
C'est donc une histoire polymorphe que nous conte A. M.
Conte car il y'a bien ces soupçons de fantastique et de poésie qui en font un bon exemple du genre.