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Dans Une littérature en ébullition, Gérard Bessette confiait que le corps restait rare dans la littérature québécoise jusqu'en 1945. Il fallut attendre Bonheur d'occasion pour « sentir le poids de la chair, la pesenteur du corps, l'horreur de sa dégénérescence dans notre littérature romanesque ». Lors d'un entretien avec François Ricard, ce dernier évoqua le corps comme la « tache aveugle » dans l'ouvre de Gabrielle Roy, « Le corps c'est le point mort ».
Pourtant une lecture attentive de cette ouvre romanesque rend compte de l'omniprésence du corps.