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« Le soir tombait, sa permission s'achevait et il devait se rendre au bureau militaire. Elle le remercia à nouveau d'avoir sauvé Philippe. "Je n'oublierai jamais, François ! Vous êtes mon ami pour toujours, je vous le redis. - C'était un geste normal. J'étais là au bon moment. Un autre à ma place l'aurait fait. Et je pense que l'amitié qui nous lie est maintenant fondée sur d'autres bases." Elle posa sur lui ce regard dont l'intensité l'impressionnait et approuva de la tête.
Quand ils s'embrassèrent sur les deux joues, qu'il sentit son corps contre le sien, il n'y fut pas insensible. Il repartit à pied, troublé... »