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Tout nous prouve que la société est dans l'impasse la plus totale. Les politiques ne résolvent rien, si ce n'est leur propre maintien aux rênes du pouvoir. Ils s'absolvent mutuellement. Et les Français attendent et croient, à chaque élection, à un renouveau. Un espoir ? Un semblant d'espoir, ou un désir seulement d'y croire encore ?
Le chômage est à nos portes, et c'est bien là une réelle violence, aussi dangereuse que celle de la rue, des compromissions et des prébendes.
Qui aura le courage de redonner confiance, sans se montrer paternaliste, de parler de la famille sans se révéler moralisant, de crier au "trop d'impôts et de législation", sans être pris pour poujadiste, de parler de patrie sans apparaître nationaliste, de croire au prestige de l'Éducation, de la Justice sans passer pour répressif, d'intégrer le retour à la campagne sans sembler rétrograde, de croire que l'avenir est également aux femmes sans paraître démagogue, de penser à l'autre, près de chez soi, comme aux pauvres du Tiers Monde, sans être considéré comme doux rêveur.
Marcel-Marc Feldman apporte ici des solutions nouvelles, à « contre-courant », atypiques, qui feront, à n'en pas douter, couler beaucoup d'encre.
Lorsque, par exemple, il préconise le retour de tous les chômeurs dans les entreprises, afin de produire moins cher, son idée paraîtra - aux yeux de certains - provocatrice, mais n'est-elle pas tout bonnement réaliste ?