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Yves Navarre (Prix Goncourt 1980 pour Le Jardin d'acclimatation) a publié Hôtel Styx en 1989 (Éditions Albin Michel). En lisant ce roman, après avoir refermé la dernière page, Michto Rex a voulu savoir ce que devenait Caron, son histoire, sa vie après l'Hôtel Styx. Yves Navarre n'est plus parmi nous. Michto a contacté l'ayant droit, Jean Perrenoud, en lui expliquant son projet de roman. une suite d'Hôtel Styx.
Jean lui a aimablement donné la permission.
"Hôtel Styx*, un hôtel au nom prédestiné dans lequel venaient mourir les clients. Caron a refermé la porte de cet établissement particulier. Il désire oublier ce passé funeste, ces milliers de morts, ce requiem fatal orchestré par sa mère. Il s'élance sur sa moto, vers le sud, mais un incident l'oblige à s'arrêter dans un village. Il rencontrera plusieurs personnages dont Isabelle, une jeune femme qui interprète à la perfection les sonates de Scriabine.
Mais, elle partage avec sa mère un terrible secret de famille.
Caron, aura-t-il la force d'oublier son passé et d'échapper à son destin de passeur des âmes ?"
Une aventure inattendue.
Je n'ai pas lu l'Hôtel Styx de Yves Navarre dont ce livre est une suite inspirée. Ce petit roman se lit d'une traite et Caron est captivant à suivre. Il n'ira pas bien loin. Je ne dis plus rien car il faut entrer dans ce livre comme j'ai fait. Au dos du livre, il y a d'écrit que Navarre a obtenu le prix Goncourt en 1980 pour Le Jardin d'Acclimatation, que je n'ai jamais lu. J'ai lu qu'un roman de lui, sur un chat. Mais après avoir lu ce roman, ce requiem, je vais lire Hôtel Styx et ensuite les autres. Il faut dire aussi que le livre de Rex est bien écrit. Ce que j'ai aimé aussi, c'est les citations au début de chaque chapitre, toutes du même auteur, Rilke. Il ne faut pas dévoiler la fin du livre, mais c'est cette fin qui m'a donné envie de lire l'Hôtel Styx de Navarre, le prochain sur ma liste !