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Quand les guerriers eurent tous été déportés, les femmes restées seules baptisèrent l'emplacement du nom de Jigin'tan : "Ceux qui n'ont aucun appui, aucun soutien". Au fil des années, inexorablement mendiants, paysans transplantés et sans travail, jeunes délinquants, prostituées y avaient élus domicile. [...] Et aujourd'hui [...] les rumeurs les plus folles circulaient... L'Autorité projetait de construire une usine, de raser leur baraquements, détruire la cité...
les chasser ?