Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Les avant-gardes du Xxe siècle ont fait de l'écriture une expérience des limites. Mais quelle est donc la limite du langage, sinon le corps ? C'est...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 3 octobre et le 12 octobre
En librairie
Résumé
Les avant-gardes du Xxe siècle ont fait de l'écriture une expérience des limites. Mais quelle est donc la limite du langage, sinon le corps ? C'est sur lui, toujours, que la parole vient buter en même temps qu'elle vient s'y inscrire. En retour, semble-t-il, le corps fait signe. Et l'écrivain est celui qui traduit, dans la langue, les signes du corps. On comprend alors pourquoi, ainsi que le pensaient Proust ou Beckett, le travail de l'écrivain est d'abord une activité de traducteur. A partir de cette idée, ce livre revisite quelques moments clés de l'écriture et de la pensée occidentales. De l'Antiquité à notre modernité, de la vieille Europe à ses projections américaines, les douze essais ici réunis défrichent un nouveau champ critique permettant de saisir la façon dont le corps entre en littérature et dont il se traduit d'une langue à l'autre.