Adrien Lokrou est professeur titulaire de chaire d'endocrinologie, métabolisme et nutrition à l'unité de formation et de recherche en sciences médicales de l'université de Cocody, à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Il est directeur du diplôme d'endocrinologie, métabolisme et nutrition de cette institution et chef de service universitaire. Il a été lauréat du Fulbright Senior Research Program américain et du meilleur projet de recherche de son université. Il est l'auteur de nombreuses publications dans ce domaine et de plusieurs guides didactiques.
Diabète sucré : traitement non médicamenteux
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- Nombre de pages118
- PrésentationBroché
- Poids0.2566 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 0,6 cm
- ISBN978-2-414-35795-6
- EAN9782414357956
- Date de parution05/09/2019
- ÉditeurEdilivre
Résumé
Le traitement non médicamenteux du diabète repose sur la diététique et l'activité physique. La diétothérapie vise à contrôler les désordres glycémiques et à minimiser le risque de complications dégénératives. Elle tient compte de l'index glycémique des aliments et apporte 55% des calories sous forme de glucides, 30-35% sous forme de lipides et 15% sous forme de protides. L'exercice musculaire favorise la perte de poids et augmente la sensibilité à l'insuline qui est anormale chez les diabétiques.
Le risque d'hypoglycémie est, à tout prendre, mineur. Pour la majorité des diabétiques de type 2, un programme d'activité de faible à modérée (40-70% de VO2 max) doit être proposé. La dépense énergétique conseillée doit être cumulativement de 1000 kcal / semaine en activité aérobique.
Le risque d'hypoglycémie est, à tout prendre, mineur. Pour la majorité des diabétiques de type 2, un programme d'activité de faible à modérée (40-70% de VO2 max) doit être proposé. La dépense énergétique conseillée doit être cumulativement de 1000 kcal / semaine en activité aérobique.
Le traitement non médicamenteux du diabète repose sur la diététique et l'activité physique. La diétothérapie vise à contrôler les désordres glycémiques et à minimiser le risque de complications dégénératives. Elle tient compte de l'index glycémique des aliments et apporte 55% des calories sous forme de glucides, 30-35% sous forme de lipides et 15% sous forme de protides. L'exercice musculaire favorise la perte de poids et augmente la sensibilité à l'insuline qui est anormale chez les diabétiques.
Le risque d'hypoglycémie est, à tout prendre, mineur. Pour la majorité des diabétiques de type 2, un programme d'activité de faible à modérée (40-70% de VO2 max) doit être proposé. La dépense énergétique conseillée doit être cumulativement de 1000 kcal / semaine en activité aérobique.
Le risque d'hypoglycémie est, à tout prendre, mineur. Pour la majorité des diabétiques de type 2, un programme d'activité de faible à modérée (40-70% de VO2 max) doit être proposé. La dépense énergétique conseillée doit être cumulativement de 1000 kcal / semaine en activité aérobique.