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À découvrir
Violaine Belouard n'a pas encore complété son profil
J'ai abordé ce livre avec la crainte d'être trop émue car le sujet est relativement délicat. Le personnage principal Augustin perd la femme qu'il aime et le doute est semé car on ne sait pas tout de suite qui elle est puisque le vocabulaire amoureux y est très présent. Le héros veut sortir de ce deuil mais pour cela il devra avant passer par des montagnes russe. On sent qu'il est beaucoup question de croyance dans ce roman et cela peut être gênant car tout le monde ne s'y retrouvera pas... Malgré tout cela fut une lecture agréable et plus tendre que triste finalement.
Ce livre est un rayon de soleil, à lire sans modération les jours de pluie. On suit l'histoire de Johannes qui pense pouvoir échapper aux "barbares" de son village natal mais il n'en est rien. On revient toujours aux sources, parfois malgré soi. J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur pour qui c'est le premier roman et l'histoire est bien construite je trouve. Elle témoigne de la vie d'un village isolé comme il en existe encore et des traditions bien ancrées qui façonnent les habitants. Je conseille la lecture de ce livre divertissant.
Déroutant
Je ne connaissais pas encore les livres de Olivier Vanderbercq donc j'étais ravie de m'inscrire pour recevoir ce livre voyageur.
Je l'ai lu dès que je l'ai reçu pour ne pas le faire traîner en route...
Le décor est rapidement planté et m'a même surpris au début car on a l'impression d'être de suite à 100 à l'heure (peut-être l'effet de la "grosse" voiture décrite dans le récit !) ... Je ne pensais pas aller si vite mais je me suis prise dans l'histoire et surtout j'ai apprécié que l'auteur prenne le temps de faire ressortir la psychologie des personnages bien que l'ensemble du roman aille vite par ailleurs.
Chacun est habité par ses démons et fait en sorte de vivre avec mais parfois le sort s'acharne et rappelle à notre mémoire que rien n'est jamais facile...
On a l'impression de suivre un tournage de film et qu'à chaque instant le metteur en scène va dire "coupez", sauf que là le carnage est tel qu'il est impossible d'arrêter l'histoire tant que Pierre n'a pas fait son travail jusqu'au bout...
Lorsqu'on arrive à la fin du livre c'est comme si on avait rétrogradé pour revenir à une vitesse normale et que l'on reprend un peu notre respiration...
J'ai trouvé l'écriture fluide et le style très dynamique. Je ne me suis pas ennuyée du tout.