Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
D'un sommet à l'autre, le problème devient toujours plus lancinant : face à une mondialisation qui semble la voie royale ou l'avenir, faut-il résolument...
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Résumé
D'un sommet à l'autre, le problème devient toujours plus lancinant : face à une mondialisation qui semble la voie royale ou l'avenir, faut-il résolument nous adapter ou, au contraire, comme le pensent à des degrés divers nombre de nos concitoyens entrer en résistance ? La question vaut non seulement en termes de politique intérieure, mais nous la voyons, notamment à l'occasion des récents débats budgétaires, gagner chaque jour davantage, l'espace européen tout entier. Plutôt que d'affronter de plein fouet cette nouvelle antinomie de la raison politique, la note que propose aujourd'hui le CAS - et qui fut initiée par les travaux de notre ami Michel Guénaire- suggère un détour, une autre voie : celle qui consisterait à comprendre pour quelles raisons notre pays est peut-être, sur le plan non seulement politique, mais plus encore historique et culturel, moins préparé que d'autres à entrer dans un processus dont le caractère anglo-saxon est bien à des égards manifeste. De sorte que nos résistances et nos réticences ne seraient peut-être pas au premier chef d'ordre économique, voire politique, mais s'enracineraient dans un passé singulier dont, paradoxalement, la richesse même pourrait parfois faire obstacle à la logique de l'adaptation. C'est du moins cette hypothèse qu'il nous a semblé utile de soumettre à une discussion dont on verra qu'elle fut parfois vive, mais il nous semble, d'autant plus féconde. Au nom des membres du CAS, qui ont apprécié au plus haut point leurs interventions, je remercie chaleureusement Hubert Védrine et Marcel Gauchet de s'être prêté avec nous au jeu de la confrontation d'idées. Luc Ferry Président du CAS.
Sommaire
Le modèle français à l'épreuve de la mondialisation