Dans ce premier tome et avec tout le talent qu’on lui connaît, le romancier nous fait connaître la vie de plusieurs générations d’artisans et de compagnons au travers une grande saga familiale. Sous la protection des abbesses, les corporations de menuisiers-huchiers, sculpteurs, ébénistes, imprimeurs, verriers, tisserands, graveurs, charpentiers, enlumineurs, serruriers, drapiers et papetiers avaient pignon sur rue dans le Paris historique et royal, depuis Louis XI jusqu’à Louis XVI, du Moyen-Age jusqu’à l’Ancien Régime. Sous sa plume, on découvre l’organisation très hiérarchisée
des faubourgs situés aux portes de Paris, la montée en puissance et la reconnaissance de toute une communauté d’artisans, devenus artistes et qui ont donné du lustre à la création française connue et réputée, à cette époque, à travers toute l’Europe et dans le monde entier. Par ailleurs, Jean Diwo rend un bel hommage aux femmes car elles ne sont pas en reste dans son roman. En effet, dotées de fortes personnalités, elles affichent déjà leur volonté de s’affranchir de l’autorité masculine tout en affirmant l’importance de leur place au sein de cette communauté d’artisans passionnés par leur labeur et qu’elles soutiennent contre vent et marée. Très bel ouvrage historique et romancé, si bien écrit que lorsqu’on commence à la lire on ne peut plus le lâcher…
Passionnant et instructif !
Dans ce premier tome et avec tout le talent qu’on lui connaît, le romancier nous fait connaître la vie de plusieurs générations d’artisans et de compagnons au travers une grande saga familiale. Sous la protection des abbesses, les corporations de menuisiers-huchiers, sculpteurs, ébénistes, imprimeurs, verriers, tisserands, graveurs, charpentiers, enlumineurs, serruriers, drapiers et papetiers avaient pignon sur rue dans le Paris historique et royal, depuis Louis XI jusqu’à Louis XVI, du Moyen-Age jusqu’à l’Ancien Régime. Sous sa plume, on découvre l’organisation très hiérarchisée des faubourgs situés aux portes de Paris, la montée en puissance et la reconnaissance de toute une communauté d’artisans, devenus artistes et qui ont donné du lustre à la création française connue et réputée, à cette époque, à travers toute l’Europe et dans le monde entier. Par ailleurs, Jean Diwo rend un bel hommage aux femmes car elles ne sont pas en reste dans son roman. En effet, dotées de fortes personnalités, elles affichent déjà leur volonté de s’affranchir de l’autorité masculine tout en affirmant l’importance de leur place au sein de cette communauté d’artisans passionnés par leur labeur et qu’elles soutiennent contre vent et marée. Très bel ouvrage historique et romancé, si bien écrit que lorsqu’on commence à la lire on ne peut plus le lâcher…