Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le graffiti est prohibé en milieu carcéral. Pourtant, il y est profus, en tous lieux et à toutes les époques, sous des formes diverses. Il s'affiche...
Lire la suite
22,00 €
Neuf
Expédié sous 6 à 12 jours
Livré chez vous entre le 28 septembre et le 4 octobre
En librairie
Résumé
Le graffiti est prohibé en milieu carcéral. Pourtant, il y est profus, en tous lieux et à toutes les époques, sous des formes diverses. Il s'affiche plus ou moins ostensiblement. II " fait mémoire " et transmet quelque chose de la vie du détenu. Dix terrains sont explorés ici : des prisons désaffectées, une cellule communale, une maison d'arrêt en activité, une simple chambre ou une cour transformée en lieu de détention. A la concision de la plupart des graffiti, on oppose souvent leur polysémie. Mais la signification de ces actes graphique n'excède-t-elle pas toujours le caractère fruste des épigraphes ? Quelques mots ou quelques traits suffisent à exprimer l'attente et l'ennui, l'incompréhension on le fatalisme, l'inquiétude ou la douleur. Tous traduisent une tension extrême. Peut-être certaines blessures psychologiques de leurs auteurs réussissent-elles à cicatriser quand ils les extériorisent sur les murs des cellules ? Le graffiti, considéré comme un fragment du carnet intime et presque jamais écrit du détenu : il donne à voir ce que la société cache, la terrible réalité pénitentiaire. En s'accumulant, ces inscriptions font de l'espace carcéral le lieu de mémoire d'individus qui n'ont rien d'autre à partager que leur enfermement.