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Treize textes, publiés en revue entre 1931 et 1935, suffisent à Eugène Dabit pour démaquiller Paris de sa frime scintillante. Se défiant du "popu" et de sa bimbeloterie canaille, il donne à voir, simplement, quelques épicentres discrets du malheur social : l'Hôtel du Nord, les couloirs du métro, l'hospice d'Ivry, dans ces textes posthumes où "la vie à nu" s'affirme comme la seule exigence et la seule honnêteté.