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Tout est parti d'une discussion animée au café du village. Victor, le facteur, n'était pas le dernier à trouver que la vie d'aujourd'hui a perdu de ses charmes, et le bonheur de son éclat. La liberté, surtout, n'est plus ce qu'elle était : "Ils nous bassinent avec leurs écrans plats, leur internet, leurs ordinateurs à pédale, leurs tablettes, leurs mégapoles et leur tri sélectif… le progrès nous a faits prisonniers !" La bataille des anciens et des modernes éclate au grand jour.
Les uns rêvent, les autres raisonnent, et certains n'hésitent pas à employer des arguments frappants. Soudain Victor a une idée : "Et si l'on allait voir s'il est toujours joli, le temps passé ? Si nous retournions vivre dans les années cinquante, comme ça, de chic, pendant un mois ?" Malgré la résistance d'une poignée d'opposants, toute la population va s'engouffrer dans cette idée folle. Mais ce retour au passé réservera bien des surprises, et changera l'avenir des habitants d'une manière inattendue.
Onirique
On a tous une nostalgie de son passé; de sa jeunesse.
Dans un village du centre de la France, Victor le facteur lance l'idée farfelue de revivre comme dans les années 50, pendant un mois. "Comme un rêve!".
L'idée est originale, sympathique et onirique. Si on met les téléviseurs dans le hangar des pompiers, que fait-on des lave-linge et réfrigérateurs? Source de progrès et d'émancipation, je n'imagine pas vivre dans les années 50 sans ces produits.
Le ton et le style sont bienveillants parfois verbeux. Dommage!
Heureusement, les échanges ne manquent pas d'humour!
Cette aventure va propulser les habitants de Saint-Agapit dans les développements touristiques et économiques du XXIème siècle, dénaturant le côté "petit village".