Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Depuis plusieurs années, des psychanalystes de l'Association lacanienne internationale interrogent avec C. Melman les conséquences subjectives individuelles...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 8 octobre
En librairie
Résumé
Depuis plusieurs années, des psychanalystes de l'Association lacanienne internationale interrogent avec C. Melman les conséquences subjectives individuelles et collectives de l'expérience coloniale inédite qui a structuré les sociétés des Antilles et de certains pays d'Amérique latine. Le mode de régulation de la jouissance qui y est repérable interroge la référence à l'Un dans l'économie psychique. À partir du texte de Freud, Lacan a posé la problématique du père à l'envers du mythe freudien et a élaboré des outils pour nous dégager de notre passion pour le père. A partir de l'expérience coloniale, Edouard Glissant a élaboré des catégories pour penser "le passage de l'Un au Divers" qui a structuré ces sociétés. Ces catégories ne nous paraissent pas objecter à l'enseignement de Lacan : nous dégager de notre passion pour le père. Peuvent-elles éclairer la structure de l'économie psychique et la transformation de l'économie de la jouissance des sociétés des pays industrialisés, dans le contexte contemporain de libéralisation économique et de mondialisation ?