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José Alcano, la trentaine fringante, dirige une agence matrimoniale. « Les rencontres du XXIe Ciel » utilisent une méthode « révolutionnaire » : accorder les névroses pour faciliter les rencontres ! Antoine de Beaumont, veuf et riche, vit seul avec sa fille Nina, 26 ans, qui souffre de neurasthénie à la suite d’un drame survenu dans son enfance. Antoine est très attaché à sa fille, et a tout tenté pour la sortir de son état pathologique.
Psychanalystes, psychothérapeutes, magnétiseurs, etc., il a tout tenté, tout… sauf l’amour. Sa dernière chance est donc de confier aux « Rencontres du XXIe Ciel » cette mission impossible : marier sa fille ! L’affaire, on s’en doute, ne va pas être de tout repos pour José. Quiproquos, chausse-trapes, rebuffades, les obstacles vont s’accumuler sur le chemin qui mènera Nina, peut-être, à trouver l’amour et à la sauver de sa pathologie… Rythme enlevé, dialogue finement ciselé, dessin et couleurs au diapason, Tout sauf l’amour est une comédie magnifique, sensible et intelligente, comme la bande dessinée en propose rarement.
Une comédie romantique en dessin
Cette BD unique a tout d'une comédie romantique sauf qu'avec ces auteurs de BD nous ne savons jamais s'ils choisiront ou pas une Happy End. Les personnages sont très attachants : il y a le créateur d'un genre de système destiné à rapprocher les personnes compatibles à vivre une histoire mais celle ci ne dire que 3 ans et pas plus. Il y a le meilleur pote qui joue le conseiller. Et il y a cette fille qui ne peut pas aimer car elle se sent coupable de quelque chose qui est arrivé alors qu'elle était un enfant. Il y a le père de cette fille qui s'inquiète... Et tout ce petit monde vont se rencontrer
Cette BD est rempli d'humour et très attendrissante. Le dessin est très intéressant. J'ai passé un bon moment autant grâce aux dialogues qu'aux illustrations même si le scénario ne dépasse pas l'intérêt du comédie romantique