Ce livre m’a beaucoup intrigué. Tout ce que nous aurions pu être si nous n’étions pas toi et moi, m’a automatiquement fait penser à un roman parlant d’un amour impossible. La quatrième de couverture ajoutant un côté fantastique à cette histoire, il fallait que je le lise pour me faire ma propre opinion…
Aux premières pages du récit, nous découvrons Marcos réveillé à 3 heures du matin par la sonnerie de l’interphone. Deux hommes viennent lui apporter le médicament qui lui permettra de ne plus avoir à dormir, de vivre 24 heures sur 24 sans avoir à se reposer : la cétamine.
Nous savons peu de choses de Marcos. Sa mère, une célèbre chorégraphe, vient de mourir. Notre narrateur n’a de cesse tout au long de son récit de se souvenir des conseils que celle-ci lui a prodigués tant au niveau de la vie, de l’amour, que du sexe. Pouvant être choquante pour certains, attendrissante pour d’autres, cette relation mère-fils est très forte et guidera Marcos tout au long de sa vie à n’en pas douter.
Mais Marcos a également une particularité…. Il a un don. Ce don lui fait voir le souvenir le plus terrible et le souvenir le plus agréable de la personne qu’il regarde dans les yeux. Il ne s’en sert qu’à de rares occasions notamment pour aider la police. Et cette fois-ci encore, Marcos sera appelé afin d’en savoir plus sur un « étranger » se trouvant aux mains des autorités. La rencontre entre notre narrateur et l’ « étranger » va se révéler des plus intéressantes mais je ne peux en dire plus au risque de vous révéler la suite de l’histoire….
Je suis assez partagée sur ce livre. D’un côté il faut reconnaître que l’auteur écrit de manière remarquable et distille au fil de son livre de nombreuses phrases digne d’un cours de psychologie. Son écriture est simple mais empreinte de sagesse, de douceur. Ce livre est donc très agréable à lire. D’un autre côté l’histoire en elle-même peut surprendre et je dois avouer que je ne m’attendais pas du tout à cette fin qui peut quelque peu nous « déboussoler », développant une théorie assez farfelue, quasi abracadabrante sur notre vie et notre mort.
Donc un avis en demi-teinte pour ce premier roman traduit en français mais je serais curieuse de lire une autre œuvre de l’auteur afin de mieux connaître son univers.
Amour impossible
Ce livre m’a beaucoup intrigué. Tout ce que nous aurions pu être si nous n’étions pas toi et moi, m’a automatiquement fait penser à un roman parlant d’un amour impossible. La quatrième de couverture ajoutant un côté fantastique à cette histoire, il fallait que je le lise pour me faire ma propre opinion…
Aux premières pages du récit, nous découvrons Marcos réveillé à 3 heures du matin par la sonnerie de l’interphone. Deux hommes viennent lui apporter le médicament qui lui permettra de ne plus avoir à dormir, de vivre 24 heures sur 24 sans avoir à se reposer : la cétamine.
Nous savons peu de choses de Marcos. Sa mère, une célèbre chorégraphe, vient de mourir. Notre narrateur n’a de cesse tout au long de son récit de se souvenir des conseils que celle-ci lui a prodigués tant au niveau de la vie, de l’amour, que du sexe. Pouvant être choquante pour certains, attendrissante pour d’autres, cette relation mère-fils est très forte et guidera Marcos tout au long de sa vie à n’en pas douter.
Mais Marcos a également une particularité…. Il a un don. Ce don lui fait voir le souvenir le plus terrible et le souvenir le plus agréable de la personne qu’il regarde dans les yeux. Il ne s’en sert qu’à de rares occasions notamment pour aider la police. Et cette fois-ci encore, Marcos sera appelé afin d’en savoir plus sur un « étranger » se trouvant aux mains des autorités. La rencontre entre notre narrateur et l’ « étranger » va se révéler des plus intéressantes mais je ne peux en dire plus au risque de vous révéler la suite de l’histoire….
Je suis assez partagée sur ce livre. D’un côté il faut reconnaître que l’auteur écrit de manière remarquable et distille au fil de son livre de nombreuses phrases digne d’un cours de psychologie. Son écriture est simple mais empreinte de sagesse, de douceur. Ce livre est donc très agréable à lire. D’un autre côté l’histoire en elle-même peut surprendre et je dois avouer que je ne m’attendais pas du tout à cette fin qui peut quelque peu nous « déboussoler », développant une théorie assez farfelue, quasi abracadabrante sur notre vie et notre mort.
Donc un avis en demi-teinte pour ce premier roman traduit en français mais je serais curieuse de lire une autre œuvre de l’auteur afin de mieux connaître son univers.