Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Aujourd'hui comme hier, on continue à prétendre que les noms de lieux mosellans, à l'incontestable cachet germanique, sont dus aux envahisseurs francs...
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Livré chez vous entre le 24 octobre et le 23 novembre
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Résumé
Aujourd'hui comme hier, on continue à prétendre que les noms de lieux mosellans, à l'incontestable cachet germanique, sont dus aux envahisseurs francs du Ve siècle. Cette théorie, héritée de l'antagonisme franco-allemand du XIXe siècle, s'avère dénuée de toute base scientifique : il est maintenant reconnu que les " Grandes Invasions " ne sont jamais soldées par un repeuplement de la Lorraine. Là où on avait cru voir une submersion des campagnes mosellanes par les Francs, l'archéologie régionale ne risque-t-elle pas de remettre en lumière une pérennité d'occupation gallo-romaine, marquée par une empreinte germanique originelle, issue d'une dualité ancestrale, déjà circonscrite par une frontière des langues ? Et de remiser les concepts de la colonisation franque au placard de l'Histoire
Une démarche nouvelle s'impose donc : confronter toponymie et archéologie... D'abord par une mise au point historique et archéologique qui fait table rase des idées reçues et redonne aux invasions germaniques leur portée réelle dans l'antique Belgique Première. Ensuite par une confrontation toponymie-archéologie à grande échelle, mais dans un cadre géopolitique cohérent : celui de l'ancien diocèse de Metz, émanation directe des structures administratives du Bas-Empire romain. Un beau pavé archéologique dans la mare toponymique...