Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Odile de Vasselot a enfin accepté de publier le récit de son engagement dans la Résistance et de raconter l'histoire du réseau Comète. La ligne d'évasion...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 5 octobre et le 15 octobre
En librairie
Résumé
Odile de Vasselot a enfin accepté de publier le récit de son engagement dans la Résistance et de raconter l'histoire du réseau Comète. La ligne d'évasion Comète est née de l'initiative d'une jeune infirmière belge désireuse de faire évader les militaires, blessés et prisonniers, qu'elle soignait à l'hôpital. Peu à peu, la ligne s'est transformée en un vaste réseau qui s'étendait des Pays-Bas jusqu'à Gibraltar, responsable de l'évasion des aviateurs alliés. C'est en brossant le portrait de chacun des acteurs avec leur courage, leur modestie et leur ténacité que l'auteur nous fait revivre une phase essentielle de la Résistance. Avant de faire partie du réseau Comète, Odile de Vasselot débute son action en servant d'agent de liaison au service de renseignement Zéro. Prenant le train chaque fin de semaine, elle est chargée de remettre courriers et documents à Toulouse, avec la menace sans cesse présente d'une arrestation par la Gestapo. Soixante ans après les événements, ce récit autobiographique est toujours aussi vivant. Grâce à un ton si personnel, un sens aigu de l'anecdote, la distance qu'elle a su prendre avec elle-même, et cette envie, toujours aussi forte, de rendre hommage à ses compagnons d'armes, Odile de Vasselot témoigne ici avec passion de l'évident engagement d'une partie de la jeunesse contre l'occupant nazi. Après la guerre, Odile de Vasselot a fondé et dirigé le lycée Sainte-Marie d'Abidjan.