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Le récit poétique d'enfance s'étiole, découvrant fruits et épines du jardin d'Eden. La mémoire se fige inexorablement dans l'ombrage d'une créature portée au nu. Le «discours autobiographique», plus incertain que jamais, esquisse les souvenirs sucrés et l'amertume du désamour. Il confesse une mise à nu qui devient elle-même mise à mort. Il creuse son propre tombeau, en surimpression du labyrinthe de l'amour perdu d'où s'extraient d'étranges vestiges.