Spinoza d'après les livres de sa bibliothèque

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Paul Vulliaud - Spinoza d'après les livres de sa bibliothèque.
Spinoza meurt le 21 février 1677. On dresse l'inventaire de ses biens. Comme on pouvait l'attendre d'un philosophe qui avait conformé sa vie à ses... Lire la suite
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Résumé

Spinoza meurt le 21 février 1677. On dresse l'inventaire de ses biens. Comme on pouvait l'attendre d'un philosophe qui avait conformé sa vie à ses principes et professé le mépris des honneurs et des richesses, il ne laisse rien, excepté une modeste bibliothèque de quelque cent soixante volumes. Nous en connaissons le détail. Il a été publié. Dans Spinoza d'après les livres de sa bibliothèque, Paul Vulliaud examine avec attention ces volumes et leurs auteurs et tente de préciser les motifs qui ont déterminé les choix de Spinoza.
Il relève que le philosophe disposait des meilleurs outils d'exégèse biblique (volumes en hébreu classique et rabbinique) et d'un ensemble d'ouvrages scientifiques du plus haut niveau. En étudiant ce que Spinoza avait lu, Paul Vulliaud dessine et approfondit la figure intellectuelle du philosophe : "On peut étudier l'Ethique et les sources de l'Ethique. Je me propose d'évoquer l'auteur de l'Ethique dans le cadre de sa vie et dans son milieu, en me souvenant, d'ailleurs, qu'il ne fut pas un érudit, mais un penseur qui concentra ses forces dans la méditation".

Caractéristiques

  • Date de parution
    15/11/2012
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-84990-217-2
  • EAN
    9782849902172
  • Présentation
    Relié
  • Nb. de pages
    148 pages
  • Poids
    0.313 Kg
  • Dimensions
    16,2 cm × 24,5 cm × 1,3 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Paul Vulliaud

Né à Lyon en 1875, Paul Vulliaud meurt dans la misère à Paris en 1950. Il a consacré sa vie à l'ésotérisme et à la Kabbale juive ou chrétienne. Son oeuvre, abondante, est autant celle d'un traducteur (Dante ou Shakespeare) que celle d'un véritable érudit. Excellent hébraïsant, on lui doit, entre autres ouvrages, une étude importante sur La Kabbale juive (1923) qui exerça une grande influence sur René Guénon, Max Jacob et O V L Milosz.
Bon connaisseur des Ecritures, il avança la thèse - aujourd'hui peu scandaleuse - de l'origine hébraïque ou araméenne de la langue des Evangiles (La Clé traditionnelle des Evangiles, 1938).

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