Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce quatrième rapport au Club de Rome constitue la suite logique des trois premiers rapports qui eurent un retentissement mondial : le rapport Meadows...
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Ce quatrième rapport au Club de Rome constitue la suite logique des trois premiers rapports qui eurent un retentissement mondial : le rapport Meadows sur les "Limites à la croissance", le rapport Mesarovic-Pestel "Stratégie pour demain" et le rapport R.I.O. dirigé par Jan Tinbergen "Nord/Sud : du défi au dialogue ?"
Le rapport Gabor-Colombo vient faire le point technologique sur les grands problèmes débattus par le Club de Rome, à savoir :
- l'énergie qui est l'oxygène de l'activité économique, mais qui menace d'être de plus en plus rare à partir des années 80-85;
- les matières premières que transforme l'énergie, mais qui risquent d'être épuisées rapidement par l'économie de gaspillage;
- la production alimentaire qui est la condition de la survie de l'humanité, mais dont on peut se demander si elle suffira pour une population de 12 ou 15 milliards d'habitants.
Sans une connaissance précise des technologies mises en oeuvre dans ces trois domaines, de leurs conditions actuelles de développement et des possibilités sérieuses d'innovations, il n'est pas possible d'étudier les avenirs possibles du monde; par conséquent encore moins de déterminer les dangers qui menacent, de faire des choix politiques et de tracer les voies nouvelles dans lesquelles l'humanité doit s'engager si elle veut éviter l'effondrement... peut-être même avant la fin du siècle.
Un nouveau défi scientifique et technologique est lancé à notre civilisation qui doit impérativement mettre fin à sa désastreuse tendance au gaspillage des ressources dont on sait maintenant qu'elles sont limitées. Reste à savoir comment elle peut le relever. C'est cette question vitale que ce quatrième rapport au Club de Rome tente d'éclaircir.