Il sera plus court que le résumé, malheureusement.
Je me suis ennuyée à la lecture de ce roman. D'abord à cause de Johanna, la top-model qui couche avec le père puis le fils. Oui, elle est consciente qu'elle va bientôt ne plus avoir de gros contrats car sa beauté va se faner. Mais ce n'est pas la peine de le dire, et le redire, et le répéter encore.
Ensuite, j'ai vu arriver gros comme un camion que Guillaume allait reprendre la ferme familiale. Un peu trop cousu de fil blanc pour moi.
Et puis Guillaume qui est secrètement amoureux de Sybil, la belle infirmière, qui elle-même
est amoureuse du même Guillaume, mais ils n'osent pas se le dire. Trop long pour moi.
Sans oublier la petite Violette, un amour de bébé qui ne pleure jamais et qui dort tout le temps. Pour moi qui ait eu deux saules pleureurs, je n'y ait pas cru. (Jalouse, moi ?!)
J'en conclue donc que ce roman n'est pas fait pour moi.
Je ne doute pas qu'il trouvera son publique car il est fort bien écrit. Mais l'histoire, sans réel suspens, tirait trop en longueur pour moi.
Il n'y a que le titre que j'ai beaucoup aimé, et ses consonnances diverses : serment comme un sarment de vigne - serment comme une promesse que l'on se fait - serment comme lorsque l'on se sert.
L'image que je retiendrai :
Celle des soirées dans la belle maison d'architecte autour d'un verre de Bourgogne. Je serai bien allée avec eux à ce moment-là.
famille, vin
Il sera plus court que le résumé, malheureusement.
Je me suis ennuyée à la lecture de ce roman. D'abord à cause de Johanna, la top-model qui couche avec le père puis le fils. Oui, elle est consciente qu'elle va bientôt ne plus avoir de gros contrats car sa beauté va se faner. Mais ce n'est pas la peine de le dire, et le redire, et le répéter encore.
Ensuite, j'ai vu arriver gros comme un camion que Guillaume allait reprendre la ferme familiale. Un peu trop cousu de fil blanc pour moi.
Et puis Guillaume qui est secrètement amoureux de Sybil, la belle infirmière, qui elle-même est amoureuse du même Guillaume, mais ils n'osent pas se le dire. Trop long pour moi.
Sans oublier la petite Violette, un amour de bébé qui ne pleure jamais et qui dort tout le temps. Pour moi qui ait eu deux saules pleureurs, je n'y ait pas cru. (Jalouse, moi ?!)
J'en conclue donc que ce roman n'est pas fait pour moi.
Je ne doute pas qu'il trouvera son publique car il est fort bien écrit. Mais l'histoire, sans réel suspens, tirait trop en longueur pour moi.
Il n'y a que le titre que j'ai beaucoup aimé, et ses consonnances diverses : serment comme un sarment de vigne - serment comme une promesse que l'on se fait - serment comme lorsque l'on se sert.
L'image que je retiendrai :
Celle des soirées dans la belle maison d'architecte autour d'un verre de Bourgogne. Je serai bien allée avec eux à ce moment-là.