Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Werner Hofmann est un passeur. " Il est de ceux qui font tomber des barrières d'un pays à l'autre, tout en soulignant les singularités de chacun, de...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 3 octobre
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Résumé
Werner Hofmann est un passeur. " Il est de ceux qui font tomber des barrières d'un pays à l'autre, tout en soulignant les singularités de chacun, de ceux qui font mieux comprendre, donc aimer, l'œuvre d'art ", écrit Michel Laclotte dans sa préface, à travers laquelle il évoque la mémorable exposition sur la peinture allemande à l'époque du romantisme qu'il avait organisée en 1976 avec son ami viennois à l'Orangerie. Passeur entre les écoles et les nations, Werner Hofmann l'est aussi à l'intérieur de la topographie de l'histoire de l'art. Il a fait éclater les frontières entre les beaux-arts" et la caricature, entre peinture et sculpture, et a mis en valeur la multimatérialité comme critère essentiel de l'art de notre époque. Sensible à l'itinérance des formes et à leur changement de signification suivant les contextes, son regard ne pouvait pas ignorer les analogies frappantes entre l'" hétéroclitisme " actuel et le Moyen Age. Ces réflexions l'ont conduit à revoir la lecture de l'art occidental selon des césures conventionnelles par siècle. A travers ses écrits, il propose d'établir une continuité autour de la notion de polyfocalité déterminant les pratiques artistiques avant et après l'époque de la Renaissance, celle-ci se caractérisant par la monofocalité. Viennois, exilé volontairement à Hambourg où il dirigea la Kunsthalle de 1970 jusqu'en 1990, Werner Hofmann est attaché à ses origines. Vienne est le lieu de l'" émancipation des dissonances " sur les plans artistique et intellectuel. Ses recherches notamment sur la polyfocalité lui ont valu le prix Warburg de la Ville de Hambourg en 2008.