Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Publié en 1947, L'Espèce humaine de Robert Antelme compte aujourd'hui parmi les œuvres essentielles de la littérature concentrationnaire. Arrêté...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
Publié en 1947, L'Espèce humaine de Robert Antelme compte aujourd'hui parmi les œuvres essentielles de la littérature concentrationnaire. Arrêté comme résistant en juin 1944, Robert Antelme fut déporté à Buchenwald, puis à Gandersheim et enfin à Dachau. C'est de cette déportation qu'il est question dans L'Epèce humaine. Plus encore, il y est question de la signification qu'Antelme sut donner à celle-ci. Car l'intérêt de ce livre réside non seulement dans ses descriptions, aussi sobres qu'inoubliables, mais aussi dans ses analyses qui, un demi-siècle plus tard, n'ont rien perdu de leur immédiateté ni de leur urgence. Il y a eu, comme l'écrit Antelme, un " rêve SS " celui de distinguer à l'intérieur de l'espèce humaine, de réduire à l'état de rebut tout ce qui, pour le système nazi, constituait une " sous-humanité ". En fàce de ce " rêve ", affirme Martin Crowley, en appeler à l'humanisme classique ne suffit plus. Il faut un nouvel humanisme, qui fasse de ce rebut l'homme lui-même.