Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Comment expliquer la crise du capitalisme alors que tous les médias, tous les commentateurs, tous les professeurs d'université de renom, tous les théoriciens...
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Livré chez vous entre le 24 septembre et le 26 septembre
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Résumé
Comment expliquer la crise du capitalisme alors que tous les médias, tous les commentateurs, tous les professeurs d'université de renom, tous les théoriciens du marché et de la finance, ou peu s'en faut, se répandent en discours mystificateurs ? En ne lâchant pas d'un pouce le débat théorique, Jean-Marie Harribey élabore des outils pédagogiques populaires à l'image des travaux qu'il a menés depuis 1998 au sein d'Attac. Le lecteur trouvera des textes alliant l'analyse et la dérision, qui sont de petits essais socio-économiques, écrits sur le vif des mouvements sociaux de ces dernières années. Souvent sur un modèle parodique, l'auteur a fait appel à des classiques de la littérature populaire qui en disent plus long que beaucoup de savants traités. Par exemple, lors de la lutte des jeunes contre le projet du gouvernement de créer un " contrat première embauche " au motif qu'il fallait " changer de modèle social ", il " utilise " Le Petit Prince pour écrire : " Dessine-moi un modèle. " Le lecteur reconnaîtra aussi La Fontaine, Corneille, Molière, Cervantès, Hugo et quelques autres... Ce faisant, Jean-Marie Harribey rappelle que le capitalisme du XXe et du XXIe siècles a miné les deux piliers sur lesquels il repose : l'exploitation de la force de travail et celle de la nature. Crise sociale et crise écologique sont au cœur des crises - à première vue financières, en réalité globales - que connaît le capitalisme depuis les années 1980. La conclusion donne la parole aux deux grands économistes qui déjà en leur temps avaient compris ce qu'était le capitalisme. Marx et Keynes avaient vu en quoi la logique du profit est une logique sacrificielle puisque les humains et la nature étaient condamnés à n'être que des instruments.